Francis Carter
Étudie au baccalauréat ès sciences
Spécialisation en psychologie (neurosciences comportementales)
Programme
Un programme à la croisée de la médecine et de l’intelligence artificielle
Offrir aux étudiants la possibilité de faire des recherches au premier cycle sous la direction d’un membre du corps professoral est une façon de les placer sur l’orbite d’une carrière passionnante
Pourquoi avez-vous choisi de faire un baccalauréat en neurosciences comportementales?
C’est un domaine où mes connaissances étaient limitées et qui me semblait captivant. Je m’intéresse à beaucoup de choses, et j’aimais la diversité des cours offerts par exemple en psychologie, en biologie et en chimie. Ce programme me permettait d’en apprendre plus sur différentes disciplines et de les intégrer en une vision cohésive du monde. J’appréciais en outre le fait de pouvoir me concentrer sur l’angle neuroscientifique, clinique ou social.
Je m’intéressais surtout aux aspects quantitatifs de la science neurologique, car il s’agit d’un champ de recherche dont les résultats s’appliquent à l’intelligence artificielle – un de mes sujets de prédilection. Par ailleurs, j’ai remarqué qu’il existait des occasions de recherche dans nombre d’autres sous-domaines de la psychologie et de la science neurologique.
La possibilité de faire des recherches a-t-elle beaucoup pesé dans votre décision?
L’idée d’effectuer des recherches tout en obtenant des crédits m’a plu, car un apprentissage pratique venait ainsi s’ajouter au curriculum. Je voyais les travaux de recherche comme un moyen d’améliorer mon curriculum vitæ et d’enrichir mon expérience universitaire.
En outre, collaborer avec un professeur pendant toute une année permet vraiment aux élèves de nouer une relation avec un éventuel mentor.
Aviez-vous une carrière en tête?
J’ai pensé que le programme m’ouvrirait les portes de carrières cliniques, sociales et scientifiques. Nombre d’étudiantes et étudiants que je connais ont suivi une de ces trois voies. Maintenant que j’achève mon programme, je m’imagine aller ensuite en médecine ou en intelligence artificielle.
Qu’avez-vous le plus apprécié dans vos études au campus Loyola?
C’est un campus spacieux et décontracté où il y a beaucoup d’endroits où étudier. Les salles de classe, laboratoires et espaces communs sont à proximité et faciles d’accès. J’aime aussi ce mariage entre bâtiments anciens et installations modernes.
Vous êtes étudiant-athlète et faites partie de l’équipe de lutte des Stingers. Comment conciliez-vous les exigences de vos études avec les autres aspects de votre vie?
Le programme est bien structuré et permet de se faire un emploi du temps raisonnable où l’on peut intégrer d’autres activités. Pour ma part, j’ai été en mesure de ménager dans mon horaire du temps pour les sports, le travail et le bénévolat, et ce, tout en gérant mes travaux de cours.
Comment votre carrière de lutteur a-t-elle contribué à votre épanouissement personnel?
J’adore les possibilités que m’ouvre mon engagement dans les sports. Pratiquer la lutte représente un grand défi tant sur le plan mental que physique. C’est un sport individuel, et il faut donc assumer seul la responsabilité des gratifications et des déceptions. Ces leçons se sont avérées extrêmement utiles lorsque je les ai appliquées à mon travail universitaire.
L’équipe de lutte des Stingers m’a également permis de voyager au Canada, de voir différentes parties du monde et de m’initier à diverses cultures. J’ai pris part à des compétitions et à des formations à Puerto Rico, en Israël, en France et en Italie.