Jaynina Deku

« Ce programme peut servir de porte d’entrée. »

L’étude de l’environnement humain met sous la loupe des enjeux concrets

L’étude de l’environnement humain explore l’interconnectivité entre les sociétés humaines et les géographies qu’elles habitent. Ce sont ces liens qui ont éveillé Jaynina Deku au militantisme climatique.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans l’étude de l’environnement humain?

Un des éléments que j’aime le plus à propos du programme, c’est l’esprit de collaboration qui y règne. Mes professeurs et mes camarades sont d’une grande générosité. Nous sommes tous animés par les mêmes passions, les mêmes aspirations, et ça se sent. Ce programme peut servir de porte d’entrée à tout un éventail de possibilités stimulantes. Je connais beaucoup de gens qui, par la suite, ont poursuivi une maîtrise dans un domaine connexe à l’environnement ou ont démarré des projets environnementaux qui s’attaquent à différents problèmes ou enjeux actuels.

En quoi le programme a-t-il changé votre perspective sur votre propre environnement?

Le volet théorique du programme m’a aidée à comprendre l’interconnexion des facteurs en jeu dans notre système climatique. J’ai aussi compris comment un problème peut exercer un effet domino et entraîner nombre d’autres répercussions. J’ai même eu l’occasion de m’impliquer auprès du comité sur l’urgence climatique, une organisation constituée d’étudiants et de membres du corps professoral, résolus à éveiller les consciences et à mieux renseigner les membres de la communauté de Concordia et la jeunesse québécoise sur les enjeux climatiques.

Quelles sont les compétences les plus précieuses que vous avez acquises dans vos études de l’environnement humain?

J’ai amélioré mon esprit critique et mes compétences en rédaction. Le programme m’a éveillée aux sciences de l’environnement et m’a motivée à y faire carrière. J’ai aussi eu la chance d’y rencontrer beaucoup de gens intéressants.