Date & time
12 p.m. – 1 p.m.
This event is free
QUESCREN, CIRLM, Observatoire international des droits linguistiques
Online
le français ci-dessous
This special journal issue was guest-edited by Patrick Donovan (QUESCREN), Lorraine O'Donnell (QUESCREN), Éric Forgues (CIRLM) and Érik Labelle Eastaugh (Observatoire international des droits linguistiques)
The 50th anniversary of the Official Languages Act (OLA) is the ideal time to review the Act in regard to its objectives and in light of the aspirations of official language minority communities (OLMCs) in Canada. This is a good time to take stock as various government and community stakeholders have engaged over the past 3 years in consultations and discussions in view of revising and modernizing the OLA. The Standing Senate Committee on Official Languages undertook the first study (which is still ongoing) in 2017. Canada's Commissioner of Official Languages conducted a consultation in 2018, which was followed, in the fall of the same year, by the work of the Standing Committee on Official Languages. Then Canadian Heritage and the Minister of Tourism, Official Languages and La Francophonie began a series of consultations in March 2019 by holding forums across the country.
What is the current political context in which these consultations and discussions are taking place, compared to the context that produced the original OLA? What effect might this context have on the results of the current consultations and the modernization of the Act? What are the expectations, visions and aspirations of today’s OLMC representatives and citizens in relation to the OLA and its implementation? Moreover, how can we integrate these concerns into the broader framework of language rights in Canada and in the context of the Indigenous Languages Act?
This special issue gathers articles first presented at the conference of the same name during the 87th ACFAS congress in 2019. All articles can be accessed free of charge on the Érudit platform.
Sous la direction de Patrick Donovan (QUESCREN), Lorraine O’Donnell (QUESCREN), Éric Forgues (ICRML) et Érik Labelle Eastaugh (Observatoire international des droits linguistiques)
Après 50 ans de mise en œuvre, le temps est propice pour faire un bilan de la Loi sur les langues officielles (LLO) en regard des objectifs de la Loi, des aspirations et de l’évolution des communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM). Le temps est d’autant plus propice que quatre consultations et études ont été menées dans les trois dernières années afin de réfléchir à la « modernisation » de la LLO. C’est le Comité sénatorial permanent sur les langues officielles qui a entrepris une première étude en 2017, étude qui est toujours en cours. Le Commissaire aux langues officielles du Canada a mené une consultation en 2018, suivi du Comité permanent sur les langues officielles à l’automne de la même année. Puis Patrimoine canadien et la ministre du Tourisme, des Langues officielles et de la Francophonie, ont amorcé une série de consultations en mars 2019 en organisant des forums à travers le pays.
Quel est donc le contexte politique actuel dans lequel se déroulent ces consultations et ces réflexions si on le compare à celui qui a donné naissance à la LLO? Quel effet peut entraîner ce contexte sur les résultats des consultations en cours et la modernisation de la LLO? Quelles sont les attentes, les visions et les aspirations des représentants et des citoyens des CLOSM à l’égard de la LLO et de sa mise en œuvre? De plus, comment concevoir ces aspirations dans le cadre élargi des droits linguistiques au Canada, incluant les provinces et les territoires et la Loi sur les langues autochtones?
Ce numéro rassemble des articles présentés lors du colloque du même titre organisée dans le cadre du 87e congrès de l'ACFAS en 2019. Tous les articles sont accessibles gratuitement sur la plateforme Érudit.
The event is organized in collaboration with the Canadian Institute for Research on Linguistic Minorities and the Observatoire international des droits linguistiques.
Cet événement est organisé en collaboration avec l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques et l'Observatoire international des droits linguistiques.
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