CSLP Associate Director and Concordia University Education Professor, David Waddington, and co-author Noah Weeth Feinstein of the Department of Curriculum and Instruction at the University of Wisconsin-Madison, recently published the article “Individual truth judgments or purposeful, collective sensemaking? Rethinking science education’s response to the post-truth era” in Volume 55 Issue 3 of Educational Psychologist.
Here is the abstract:
“Science education is likely to respond to the post-truth era by focusing on how science education can help individuals use scientists’ epistemological tools to tell what is true. This strategy, by itself, is inadequate for three reasons. First, science does not actually offer foundational truth, and incautious assertions about scientific truth can make the problems of the post-truth era worse. Second, scientific knowledge offers only part of the solution to personal and policy problems and must be reconstructed in context. Third, people think about and act on science in social context—both as members of their social and cultural groups and with other members of those groups. Taken together, these arguments suggest that we should be focusing on a different question: How can science education help people work together to make appropriate use of science in social context?”
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French:
David Waddington, directeur associé du CEAP et professeur en éducation à l’Université Concordia, et le co-auteur Noah Weeth Feinstein du département des programmes et de l’enseignement de l’Université du Wisconsin-Madison ont récemment publié l’article « Individual truth judgments or purposeful, collective sensemaking? Rethinking science education’s response to the post-truth era » [Des jugements de vérité individuels ou une prise de conscience collective intentionnelle ? Repenser la réponse de l’enseignement des sciences à l’ère de la post-vérité] dans le volume 55 numéro 3 de la revue académique Educational Psychologist.
Voici le résumé:
« L’enseignement des sciences est susceptible de répondre à l’ère « post-vérité » en se concentrant sur la manière dont celui-ci peut aider les individus à utiliser les outils épistémologiques des scientifiques pour déterminer ce qui est vrai. Cette stratégie, en elle-même, est insuffisante pour trois raisons. Premièrement, la science n’offre pas de vérité fondamentale, et des affirmations imprudentes sur la vérité scientifique peuvent aggraver les problèmes de l’ère « post-vérité ». Deuxièmement, les connaissances scientifiques n’apportent qu’une partie de la solution aux problèmes personnels et politiques et doivent être reconstruites dans leur contexte. Troisièmement, les gens réfléchissent et agissent sur la science dans un contexte social — à la fois en tant que membres de leurs groupes sociaux et culturels et avec d’autres membres de ces groupes. Dans leur ensemble, ces arguments suggèrent que nous devrions nous concentrer sur une autre question : comment l’enseignement des sciences peut-il aider les gens à travailler ensemble pour faire un usage approprié de la science dans un contexte social ? »
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