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CSLP Researchers Present at Canada Centre for Community Engagement and Prevention of Violence


The Canada Centre for Community Engagement and Prevention of Violence held its fourth international conference under the theme of What to Measure, How to Prevent this May and three members of the CSLP, all of them UNESCO Chairs on the Prevention of Radicalization and Violent Extremism (UNESCO-PREV), were in Ottawa to speak at the event.

Photo of Ghayda Hassan Photo by CPN-PREV

On day 1, Ghayda Hassan, director of the Canadian Practitioners Network for the Prevention of Radicalization and Extremist Violence (CPN-PREV) was the day's keynote speaker. Hassan talked about the unfortunate destructive convergence of disinformation with virtual reality, deep fakes, and AI as it relates to violent radicalization. Hassan proposed that we build a "constructive convergence" to counter a coming storm. She proposes a wide, generational vision rather than short term plan. She ended her talk with needs in the field: to have more practitioners (she estimated there are presently maybe 40 in Canada) and making large corporations more ethically accountable.

Photo of Marie-Eve Carignan Photo by CPN-PREV

On day 2 of the conference, Marie-Ève ​​Carignan, gave a very interesting presentation on the experiences of journalists during the COVID-19 pandemic, as well as on factors affecting a person's likelihood of participating in conspiratorial movements, and the need for more cautious journalistic language.

Photo of David Morin & Pablo Madriaza Photo by CPN-PREV

On day 3 it was David Morin’s turn to present, along with Pablo Madriaza (former CPN-PREV General Coordinator and member of the Chaire UNESCO-PREV team). They reported on the results of the PREV-IMPACT project – two findings were underlined: first, evaluations of countering violent extremism (CVE) programs essentially use "proxy" (indirect) measures of impact and success. Second, evaluation protocols must be in place at project design and be built into the project at the outset; evaluations by an external evaluator at the end of the program can be problematic to implement.

Des chercheur.euses du CEAP parles au Canada Centre for Community Engagement and Prevention of Violence

Le Centre canadien d'engagement communautaire et de prévention de la violence a organisé en mai dernier sa quatrième conférence internationale sur le thème "Que mesurer, comment prévenir". Trois membres du CEAP, tous titulaires de chaires UNESCO sur la prévention de la radicalisation et de l'extrémisme violent (UNESCO-PREV), étaient présents à Ottawa pour prendre la parole lors de l'événement.

Photo de Ghayda Hassan Photo par CPN-PREV

Le premier jour, Ghayda Hassan, directrice du Réseau des praticiens canadiens pour la prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violent (RPC-PREV), était l'oratrice principale de la journée. Dre Hassan a parlé de la malheureuse convergence destructrice de la désinformation, de la réalité virtuelle, des "deep fakes" et de l'IA dans le cadre de la radicalisation violente. Se proclamant optimiste, Dre Hassan a proposé que nous construisions une convergence constructive pour contrer la tempête qui se prépare ; une vision large et générationnelle plutôt qu'un plan à court terme. Elle a terminé son intervention en évoquant les besoins dans le domaine : avoir plus de praticien.nes (elle estime qu'il y en a actuellement environ 40 au Canada) et rendre les grandes entreprises plus responsables d'un point de vue éthique.

Photo de Marie-Eve Carignan

Le deuxième jour de la conférence, Marie-Ève Carignan a fait une présentation très intéressante sur les problèmes rencontrés par les journalistes pendant la pandémie de COVID-19, sur les facteurs qui influencent l'adhésion probable d'une personne à des mouvements conspirationnistes et sur la nécessité d'un langage journalistique prudent.

Photo de David Morin et Pablo Madriaza

Le troisième jour, David Morin et Pablo Madriaza (ancien coordinateur général du RPC-PREV et membre de l'équipe de la Chaire UNESCO-PREV) ont présenté les résultats du projet PREV-IMPACT - deux conclusions ont été soulignées : premièrement, les évaluations des programmes de lutte contre l'extrémisme violent (PVE) utilisent essentiellement des mesures "proxy" (indirectes) de l'impact et du succès. Deuxièmement, les protocoles d'évaluation doivent être mis en place dès la conception du projet et être intégrés au projet dès le départ ; les évaluations réalisées par un évaluateur externe à la fin du programme peuvent être difficiles à mettre en œuvre.




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