CSLP Researchers Interviewed About Israel-Hamas Conflict

David Morin (Université de Sherbrooke) was interviewed on TVA’s Le Bilan regarding risks for radicalization in the wake of the outbreak of fighting. Morin, co-holder of the UNESCO Chair in the Prevention of Violent Radicalization and Extremism, spoke of the impact of this conflict on our society, as pro-Palestine and pro-Israel demonstrations take place around the world. In discussion with host Emmanuelle Latraverse, Morin articulated what he sees as the three main risks for radicalization:

• High levels of polarization and hate speech.
• Demonstrations that degenerate into direct confrontation and hate speech.
• Violent action by an individual, or a group of individuals, galvanized by conflict.

To view the entire interview please visit the TVA website.

Meanwhile, in the pages of La Presse, CEAP UQAM member Olivier Arvisais was interviewed by Nathalie Collard. Arvisais is the Scientific Director of l’Observatoire canadien sur les crises et l’action humanitaires (Canadian Observatory on Humanitarian Crises and Action). He spoke to the complexity of the issue, and noted that better leadership that reflects the true needs of people on both sides is necessary.

Des chercheurs du CEAP interrogés sur le conflit entre Israël et le Hamas

Alors que le conflit éclate en Israël à la suite de l'attaque surprise du Hamas, des chercheurs affiliés au CEAP ont été interviewés dans les médias québécois pour donner leur point de vue sur la lutte.

David Morin (Université de Sherbrooke) a été interviewé à l'émission Le Bilan de TVA au sujet des risques de radicalisation à la suite de l'éclatement des combats. Dr. Morin, cotitulaire de la Chaire UNESCO en prévention de la radicalisation et de l'extrémisme violents, a parlé de l'impact de ce conflit sur notre société, alors que des manifestations pro-palestiniennes et pro-israéliennes ont lieu un peu partout dans le monde. Lors d'une discussion avec l'animatrice Emmanuelle Latraverse, Dr. Morin a exposé ce qu'il considère comme les trois principaux risques de radicalisation :

• Des niveaux élevés de polarisation et de discours de haine.
• Des manifestations qui dégénèrent en confrontation directe et en discours de haine.
• L'action violente d'un individu ou d'un groupe d'individus galvanisés par le conflit.

Pour visionner l'intégralité de l'entrevue, veuillez consulter le site Web de TVA.

Dans les pages de La Presse, Olivier Arvisais, membre du CEAP UQAM, a été interviewé par Nathalie Collard. Dr. Arvisais est directeur scientifique de l'Observatoire canadien sur les crises et l'action humanitaires. Il a parlé de la complexité de la question et a noté qu'un meilleur leadership reflétant les besoins réels des personnes des deux côtés est nécessaire.