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Pleinement soutenue dans ses projets d’avenir

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Leila a de longs cheveux noirs et des lunettes. Elle porte un chemisier blanc et sourit. « Je pense que les études supérieures en valent le coût, mais elles demeurent une entreprise coûteuse. En plus d’alléger ce fardeau, la bourse m’a donné le sentiment que mes efforts en valaient la peine. »

L’avenir regorge de possibilités pour Leila Khalifa, qui a entamé cet automne sa troisième année de baccalauréat en commerce international à l’Université Concordia. Âgée de 20 ans, elle a une idée générale des domaines auxquels elle aimerait apporter sa contribution – les relations internationales, le droit des affaires et le développement durable en affaires sont des possibilités –, mais elle n’a pas encore fait de choix définitif.

Elle a en revanche déjà franchi une étape décisive : elle est venue s’installer à Montréal. « Lorsque j’ai déménagé au Canada, j’envisageais avec enthousiasme les quatre années à venir », confie cette Égyptienne d’origine. « Pour être honnête, j’étais aussi plutôt nerveuse. »

Concordia s’est rapidement révélée être un lieu accueillant et propice à l’autonomisation. « L’Université et ses donateurs aident les étudiants sur de multiples plans : pédagogique, financier, physique et mental », affirme Leila Khalifa.

Le Service de planification de carrière du Centre de réussite universitaire est l’un des programmes soutenus par des dons auxquels elle a fait appel. « Je cherchais un emploi à temps partiel, et la conseillère a compris que cette démarche était toute nouvelle pour moi, relate-t-elle. Elle m’a donné de bons conseils personnalisés. Elle m’a même accompagnée et aidée à faire le tri entre différentes offres d’emploi. »

Leila Khalifa a fini par trouver un emploi d’aide aux activités à l’intention des diplômés de l’Université, telles que les lancements de livres et les réceptions; elle a pu y mettre à profit son aisance à converser et son plaisir à travailler avec les autres.

« J’ai rencontré des gens très intéressants et inspirants grâce à mon travail, mais j’ai aussi pu me familiariser avec une bonne partie de la ville, indique-t-elle. C’est l’une des choses qui m’a beaucoup aidée lorsque j’ai été aux prises avec le mal du pays. »

Lorsqu’elle ne travaille pas ou n’est pas en train de suivre un cours, Leila Khalifa se trouve souvent à la bibliothèque R.-Howard- Webster. Elle a essayé tous les types d’espaces d’étude, des canapés confortables aux zones de chuchotement en passant par les salles de réunion. « Que j’aie besoin d’un endroit pour discuter en groupe ou pour me concentrer sans parler à personne, il y a toujours de bonnes possibilités qui s’offrent à moi, précise-t-elle. Sauf pendant la semaine des examens, bien sûr, où il faut se lever tôt pour obtenir une place aux étages les plus courus! »

Les ressources offertes par la bibliothèque ont également permis à Leila Khalifa d’apprendre à rédiger des essais universitaires solides; au début de sa deuxième année, elle a d’ailleurs reçu une bourse d’excellence.

« J’étais vraiment ravie : je pense que les études supérieures en valent le coût, mais elles demeurent une entreprise coûteuse, observe-t-elle. En plus d’alléger ce fardeau, la bourse m’a donné le sentiment que mes efforts en valaient la peine, et qu’ils étaient reconnus. »

À l’avenir, Leila Khalifa compte enrichir son expérience au premier cycle en prenant part à la vie étudiante. « Lorsque je me suis renseignée, j’ai été surprise de constater le nombre d’activités et de projets offerts sur le campus, se réjouit-elle. Mais parmi tous les défis auxquels les étudiants peuvent se heurter, celui d’avoir trop de choses intéressantes à faire est loin d’être le pire! »



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