Adam Mokhtar

« Comme il s’agit d’un programme très multidisciplinaire, nous devons être relativement doués dans chaque domaine. »

Qu’est-ce qui vous plaît dans ce programme?

Dans la spécialisation en sciences environnementales, beaucoup de cours du tronc commun se donnent à la faculté de génie. Comme il s’agit d’un programme très multidisciplinaire, nous devons être relativement doués dans chaque domaine. Cette particularité du programme représente un défi, mais c’est pour moi une expérience fort stimulante.

Quel est le meilleur cours que vous ayez suivi à ce jour?

Le cours que j’ai préféré portait sur la thermodynamique du génie. Nous avons été appelés à construire des engins de toutes sortes, comme des cycles et des turbines. J’ai trouvé cela très intéressant. C’est Lyes Kadem, professeur de génie mécanique, qui donnait ce cours. Pédagogue hors pair, il a veillé à ce que nous comprenions bien toute la matière enseignée.

Que comptez-vous faire après l’obtention de votre diplôme?

Il y a de fortes chances – disons 70 % – que j’entreprenne une maîtrise en sciences de l’environnement, sans doute à Concordia. Je chercherai peut-être aussi un stage ou un emploi. Il faut seulement deux ans pour obtenir une maîtrise, mais un tel diplôme procure beaucoup d’avantages.

Quel conseil donneriez-vous aux étudiantes et étudiants potentiels?

Quand j’ai entamé mes études, je n’étais pas conscient de la valeur ajoutée qu’apporte un programme coop. J’aurais dû choisir cette option, mais je ne savais pas à quel point une telle expérience pouvait être déterminante. J’ai des amis issus de diverses disciplines qui ont suivi un cheminement coop, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai découvert cette formule. Maintenant, je constate que ce bagage constitue un précieux atout.