William Chan
Baccalauréat en commerce
Majeure en gestion des technologies d’affaires
« J’ai été très chanceux de venir à Concordia. »
Les projets de synthèse permettent de se constituer un solide dossier de présentation et de décrocher un premier emploi, souligne William Chan
William Chan (B. Comm. 2016) a travaillé quatre ans pour Air Canada à titre d’analyste des activités des ventes mondiales et des analyses avant de passer chez Merck, où il a assumé les fonctions de gestionnaire des perspectives commerciales.
Responsable de bâtir la capacité de données et d’analyses de l’entreprise, William attribue sa réussite professionnelle au programme qu’il a suivi à l’École de gestion John-Molson de Concordia.
Nous avons récemment discuté avec le diplômé pour en savoir davantage sur son parcours à l’Université et son cheminement professionnel depuis l’obtention de son baccalauréat. Il est actuellement inscrit à une maîtrise en analytique de gestion à l’Université Queen’s.
En quoi votre programme a-t-il joué un rôle dans vos choix professionnels?
Ce qui m’a beaucoup plu dans le programme a été de découvrir toute une variété de disciplines au sein même de la discipline étudiée. Le programme de gestion des technologies d’affaires offrait une bonne combinaison de cours de gestion et de formation technique, allant de l’analyse et des stratégies liées aux systèmes d’information à la gestion des bases de données, en passant par le développement d’applications. Le programme comportait également trois projets de synthèse consécutifs. Ainsi, une fois diplômé, on dispose vraiment d’un solide dossier de projets à présenter aux employeurs potentiels – c’est ce qui m’a d’ailleurs aidé à décrocher mon premier emploi à Air Canada.
Quels autres aspects du programme avez-vous aimés?
Pour moi, Concordia est un grand établissement où règne un esprit de communauté. Les étudiantes et étudiants s’entraident beaucoup et iront jusqu’à la fin de l’aventure avec vous. Une fois dans le programme, tout le monde se serre les coudes et s’entraide, ce qui est probablement l’une des principales raisons pour lesquelles j’ai choisi Concordia, en plus bien sûr de l’excellence du programme.
Je pense qu’à l’époque, la gestion des technologies d’affaires et l’analyse de données représentaient l’avenir, alors je me suis lancé sans savoir où cela m’amènerait. Comme il s’agissait d’une discipline relativement nouvelle, j’ai eu l’occasion d’explorer, de mettre au jour et de découvrir. Et je travaille aujourd’hui dans le domaine où j’ai étudié!
Quel conseil donneriez-vous aux étudiantes et étudiants actuels?
Soyez proactifs. Il y a quatre choses que je dis toujours aux étudiantes et étudiants qui sont admis à Concordia : premièrement, faites des stages; deuxièmement, participez à des concours d’études de cas; troisièmement, faites des études à l’étranger; et quatrièmement, impliquez-vous dans votre association étudiante. Selon moi, ces quatre éléments essentiels, combinés au programme de l’École de gestion John-Molson, contribuent à la réussite des étudiants après l’obtention de leur diplôme.
Quels ont été les moments forts de votre expérience à Concordia?
Je me suis impliqué pendant trois ans dans l’Association des étudiants en sciences de la décision et, lorsque j’en ai été le président, je l’ai renommée pour qu’elle devienne l’Association des étudiants en gestion de la chaîne d’approvisionnement et des technologies d’affaires de l’École de gestion John-Molson. J’ai bâti une équipe, puis je suis allé chercher des commandites afin de créer des événements qui non seulement intéresseraient les étudiants, mais qui leur seraient en plus bénéfiques dans leur cheminement professionnel. Nous avons ainsi eu des entreprises comme IBM et Deloitte qui sont venues pour recruter des étudiants.
J’ai également présidé pendant une année le Comité du marketing des sports John-Molson, pour lequel j’ai organisé, à l’occasion de son vingtième anniversaire, le plus important colloque étudiant sur la gestion des sports. J’ai fait connaissance avec certains de mes amis les plus proches durant ces trois années de participation à la vie étudiante.
Quel conseil donneriez-vous aux étudiantes et étudiants?
Je pense que l’un des aspects les plus importants de la vie étudiante est de réaliser des projets tangibles qui pourront être présentés à des employeurs potentiels. Quand on participe à des activités et qu’on collabore en classe, on veut surtout en tirer une expérience qui se rapproche le plus possible à celle du monde réel.
Dans toute entreprise, on travaille avec des gens de différentes origines, nationalités, religions et autres. S’impliquer dans ce type d’activités permet de découvrir des cultures hors de son cercle et de se doter de ce que j’appelle un « esprit de citoyen du monde ».