Skip to main content

L’Université Concordia fera valoir son expertise en matière de recherche bilingue en coorganisant le congrès de l’Acfas de 2025

Présentez vos travaux et rencontrez d’autres chercheuses et chercheurs à l’occasion du plus grand congrès multidisciplinaire francophone au monde
25 septembre 2024
|

Du 5 au 9 mai 2025, l’Université Concordia s’associera avec l’École de technologie supérieure pour organiser le 92e congrès de l’Acfas, le plus grand rassemblement en son genre dans la francophonie. Cet organisme a pour mandat de faire rayonner la recherche de calibre mondial menée en français par des scientifiques, des chercheurs et des universitaires en recherche-création du Québec, du Canada et du monde entier.

L’appel de propositions ayant commencé, les membres du corps professoral de Concordia sont encouragés à s’inscrire au congrès et à y présenter leur expertise. Le congrès de l’Acfas constitue une occasion formidable pour échanger avec des collègues, développer de nouvelles collaborations et participer aux discussions portant sur l’utilisation de la recherche pour solutionner les grands problèmes d’aujourd’hui.

Pour les étudiants, particulièrement ceux des cycles supérieurs, il s’agit d’un moment de choix pour présenter leurs recherches, étoffer leur réseau professionnel et se renseigner sur les travaux de chercheurs réputés.

Martin Lefebvre, professeur et directeur de l’École de cinéma Mel-Hoppenheim et Sylvia Kairouz, professeure de sociologie et d’anthropologie, coprésident le comité scientifique du congrès. Nous leur avons demandé de nous décrire le rôle que joue Concordia en tant que coorganisateur et de nous parler des retombées pour la communauté universitaire.

Qu’est-ce que cela signifie pour Concordia de coorganiser le congrès de l’Acfas?

Martin Lefebvre : Les gens perçoivent souvent Concordia comme un établissement anglophone, mais nous fonctionnons grandement de façon bilingue. Une bonne part des membres de l’effectif étudiant et du corps professoral sont francophones, et les étudiants peuvent présenter leurs travaux en français. Le fait que Concordia coorganise le congrès illustre à quel point la recherche dans notre établissement se passe aussi en français. Nous faisons partie intégrante du réseau universitaire francophone du Québec, même si nous enseignons principalement en anglais!

Sylvia Kairouz : Le retour du congrès à Concordia montre que notre université est un acteur important du milieu de la recherche au Québec. On reconnaît du même coup que notre établissement compte une forte proportion de chercheurs et d’étudiants qui travaillent et publient leurs travaux en français. Le fait de coorganiser le congrès permet également de resserrer les liens avec les chercheuses et chercheurs francophones d’ici et d’ailleurs, ce qui est bénéfique pour l’Université dans son ensemble.

Qu’est-ce qui distingue la participation de Concordia de celle des autres universités?

ML : Nous nous caractérisons assurément par notre environnement bilingue. Dans certains de nos programmes, comme celui de production cinématographique, il arrive que les cours se déroulent à la fois en anglais et en français. De nombreux étudiants et étudiantes de Concordia travaillent dans les deux langues, ce qui leur confère un avantage indéniable une fois leur diplôme en poche. Notre implication auprès de l’Acfas nous permet de mettre en évidence ce trait distinctif : nous préparons les étudiants à évoluer en anglais et en français, tant dans le domaine de la recherche que sur le marché du travail.

Pourquoi les membres du corps professoral et de l’effectif étudiant devraient-ils participer au congrès?

ML : Le congrès de l’Acfas est une formidable occasion de rencontrer des gens. Les membres du corps professoral peuvent y croiser d’autres chercheurs et éventuellement établir de nouvelles collaborations. Quant aux étudiants, particulièrement ceux des cycles supérieurs, il n’y a pas meilleur lieu pour nouer des contacts, voire de rencontrer des personnes qui pourraient assumer la direction de leurs recherches postdoctorales ou partie de leur comité d’examen de thèse ou de mémoire. C’est aussi pour eux un moyen de présenter leurs travaux de recherche et d’obtenir la rétroaction de nouveaux interlocuteurs.

SK: J’ajouterais que le congrès ouvre de vastes perspectives aux étudiants, en particulier ceux qui sont plus à l’aise en anglais, car il leur donne la chance de se plonger dans le monde universitaire francophone. Ils se familiariseront avec l’état de la recherche en français, ce qui peut donner une toute nouvelle dimension à leurs travaux. De plus, étant donné que le congrès a lieu ici, à Montréal, il est facile pour les étudiants de s’y rendre et d’y participer.


Présentez votre proposition d’ici le 11 octobre  2024 afin de participer au 92e congrès de l’Acfas, coorganisé par l’Université Concordia.



Sujets tendance

Retour en haut de page

© Université Concordia