Health and Wellbeing Review 2018
Appendices
Participants
Anna Barrafato |
Spécialiste en matière de handicap, Service d’intégration des étudiants en situation de handicap |
Jessica Bleuer |
Chargée d’enseignement (PDD), Thérapies par les arts |
Vicky Boldo |
Aînée, Centre de ressources pour les étudiantes et étudiants autochtones |
Robert Cassidy |
Directeur, Centre d’appui à l’enseignement et à l’apprentissage |
Dianne Cmor |
Directrice adjointe de la Bibliothèque, Enseignement et apprentissage |
Deborah Cross |
Chef des programmes communautaires et d’éducation, Centre PERFORM |
Miranda D’Amico |
Vice-doyenne, Soutien pédagogique aux étudiants, Arts et sciences |
Sandra Gabriele |
Vice-rectrice exécutive adjointe à l’innovation en enseignement et en apprentissage |
Angela Ghadban |
Chef intérimaire, Bureau des étudiants internationaux |
Reverend Ellie Hummel |
Aumônière et coordonnatrice, Centre spirituel et interreligieux |
George Kanaan |
Vice-doyen, École de gestion John-Molson |
Jeff Levitt |
Chef des services cliniques en santé mentale |
Howard Magonet |
Directeur, Service de consultation et de psychologie |
Julie Messier |
Directrice générale, Tel-Aide |
Laura Mitchell |
Directrice, Centre de réussite universitaire |
Jewel Perlin |
Conseillère, Service de consultation et de psychologie |
Daniel Roy |
Gestionnaire, Le Gym |
Marie Sanjur |
Coordonnatrice, GradPro Skills, Études supérieures |
Jade Se |
Service d’écoute Nightline des étudiants de Concordia |
Elana Soldin |
Psychothérapeute, chef d’équipe, Programme de santé mentale pour les adultes, CLSC |
Melodie Sullivan |
Conseillère juridique principale |
Kirsten Sutherland |
Directrice principale, Gestion des projets, Service de gestion immobilière |
Gabriella Szabo |
Spécialiste en promotion de la santé, Services de santé |
Robert Taliano |
Chef du Service de planification et de carrière |
Andrea Taylor |
Coordonnatrice de projets, Compétences nouvelle génération |
Daniel Therrien |
Registraire |
Lisa White |
Directrice par intérim, Bureau des droits et des obligations |
Andrew Woodall |
Directeur de la vie étudiante |
Mahdi Ziani |
Vérification et formation, Service de sécurité |
Camille Zolopa |
Service d’écoute Nightline des étudiants de Concordia |
Domaine no 1 : Le milieu universitaire
1. Selon vous, sur une échelle de 1 à 5 (où « 1 » est la note la plus faible), où se situent les efforts de Concordia pour favoriser le bien-être des étudiants en classe? (Et pourquoi?)
a. Pour obtenir des exemples d’autres universités, voir l’Université Ryerson, l’Université de la Colombie-Britannique, l’Université du Delaware et l’Université Simon Fraser.
2. Quelles stratégies, quels outils et quelle formation pourraient aider les professeurs de Concordia à cultiver l’empathie en classe?
a. Quelles méthodes pourrions-nous mettre en œuvre relativement rapidement (c.-à.-d. en moins d’un an)?
3. Si Concordia devait se donner comme priorité d’enseigner aux étudiants à vivre une vie saine, heureuse et épanouie, que devrait-elle mettre en place pour parvenir à ses fins?
4. Pour diverses raisons, il est fréquent que les étudiants soient mal outillés pour gérer l’anxiété et les stresseurs situationnels, et les examens peuvent finir par évaluer leur capacité à gérer le stress plutôt que leurs connaissances.
a. De quelles ressources disposent les professeurs pour gérer l’anxiété des étudiants en classe?
b. Selon vous, quelle pratique doit-on privilégier pour l’évaluation des connaissances et les examens?
c. Quelles sont vos suggestions pour développer la résilience et l’intelligence émotionnelle?
5. Des chercheurs ont démontré que les professeurs peuvent promouvoir une saine culture d’apprentissage en tissant des liens avec les étudiants à l’extérieur des salles de cours.
a. Cette approche est-elle réaliste et pertinente à Concordia?
b. Avez-vous des exemples d’universités qui favorisent le bien-être en classe?
6. Quelles sont les meilleures pratiques en ce domaine?
Domaine no 2 : Politiques et pratiques de Concordia pour favoriser le bien-être des étudiants
Des experts-conseils présentent l’empathie comme un élément essentiel à l’épanouissement d’une communauté. Qui plus est, dans le domaine du bien-être, on dit souvent que « le bien-être est l’affaire de tous ». Autrement dit, nous en sommes tous responsables. Certaines voix appellent toutefois à la prudence, invoquant la nécessité de définir clairement les rôles et responsabilités de chacun et le fait qu’une politique juste et efficace est un outil particulièrement difficile à mettre au point. Pour en savoir plus sur le rôle des politiques et des procédures dans le développement d’une communauté épanouie, consultez leconsultez le Centre d’innovation en santé mentale sur les campus.
1. Parmi les instruments suivants, lesquels recommandez-vous à Concordia, et pourquoi?
a. Une politique indépendante sur la santé et le bien-être énonçant officiellement les responsabilités de Concordia quant à la santé et au bien-être de ses membres. Cette politique pourrait regrouper des politiques existantes.
b. Un énoncé d’engagement envers la santé et le bien-être indiquant clairement l’importance qu’accorde Concordia à la santé et au bien-être de ses membres.
c. Une liste de lignes directrices pour évaluer les politiques existantes en vue d’intégrer graduellement les principes de santé et de bien-être à toutes les politiques.
2. Parmi les politiques et les procédures dont vous connaissez l’existence à Concordia, nommez celles qui favorisent l’empathie et le bien-être de la population étudiante en général et des étudiants dans le besoin.
a. Y a-t-il matière à améliorer ces politiques et ces procédures?
b. Quelles méthodes Concordia pourrait-elle mettre en place assez rapidement (d’ici un an ou deux)? Quelles seraient les ressources nécessaires?
c. Avons-nous besoin de nouvelles politiques et procédures?
d. Quels sont selon vous les moyens les plus efficaces de promouvoir l’empathie et le bien-être (politiques ou autres outils)? Pourquoi?
3. Quelles sont les meilleures pratiques en ce domaine?
Domaine no 3 : Quelles sont les meilleures pratiques en ce domaine?
1. La demande de services en santé mentale augmente, mais les ressources sont limitées.
a. Quels enjeux de santé mentale entraînent la hausse de la demande la plus marquée?
b. La demande croît-elle également pour d’autres types de services de santé? Si oui, lesquels?
c. Selon vous, quels seront les principaux enjeux de santé d’ici 5 à 10 ans?
2. Quelles sont les forces et les faiblesses des services offerts par Concordia relativement aux maladies chroniques ou persistantes ainsi qu’aux maladies épisodiques ou transitoires?
a. Quels changements suggérerez-vous?
b. Quels changements devraient être prioritaires?
3. Quelles sont les forces et les faiblesses des services en intervention de crise se rapportant à des enjeux de santé offerts par Concordia?
a. Quels changements suggérerez-vous?
b. Quels changements devraient être prioritaires?
4. Quel soutien nos services de santé actuels fournissent-ils lors d’étapes importantes de la vie (p. ex. lors d’une grossesse)?
5. À Concordia, de multiples acteurs se consacrent à la santé et au bien-être. Selon vous, ces gens travaillent-ils bien ensemble?
a. Que pourrait-on faire pour les aider à mieux collaborer?
b. Quels défis se posent devant eux et que peuvent-ils faire pour les surmonter?
6. En Amérique du Nord, de nombreux modèles de santé et de bien-être sont axés sur l’approche clinique occidentale. Quelle place devrait-on réserver aux méthodes traditionnelles et orientales? Comment ces différentes approches peuvent-elles se compléter à Concordia?
7. Que pensez-vous de l’interdiction de fumer sur le campus de Concordia?
8. Quelles sont les meilleures pratiques en ce domaine?
Domaine no 4 : Possibilités de développement offertes aux étudiants sur le campus (hors des salles de classe)
1. Quel est le rôle des universités en ce qui a trait au développement personnel des étudiants?
2. Est-il commun pour les universités de favoriser la croissance et le développement personnels par l’entremise d’unités de services aux étudiants et de noter les compétences acquises dans un bilan d’engagement communautaire? Quelles sont les forces et les faiblesses de cette approche?
3. Les bienfaits du sport et de l’activité physique sur la santé sont aujourd’hui bien connus. Pourtant, malgré la conscientisation accrue, bon nombre de personnes demeurent sédentaires. Quels moyens Concordia pourrait-elle prendre pour promouvoir l’activité physique?
4. . Au sujet des activités parascolaires, on entend souvent dire : « J’ai souvent du mal à trouver la motivation, mais quand je participe, ça me fait vraiment du bien. C’est de me décider à bouger qui n’est pas facile. » Ou encore : « J’ai envie d’y aller et je sais que ce serait bon pour moi, mais je ne trouve pas la motivation. » Que peuvent faire les gens pour vaincre leur inertie?
5. Une saine alimentation est essentielle pour se sentir bien dans son corps et dans son esprit. Que pouvons-nous faire pour montrer aux étudiants que bien manger peut être facile, agréable et, surtout, abordable?
6. Quelles sont les meilleures pratiques en ce domaine?
Domaine no 5 : Espaces favorisant la santé et le bien-être sur le campus
1. Donnez des exemples d’espaces physiques favorisant la santé et le bien-être. Concordia possède-t-elle de tels espaces?
2. Comment Concordia peut-elle réaménager l’espace pour promouvoir le bien-être (dès aujourd’hui ou dans l’avenir)?
3. Les lois régissant l’usage du tabac interdisent de fumer à moins de neuf mètres des portes d’entrée et des fenêtres. Comment faire respecter cette règle?
4. Selon vous, quels sont les principaux obstacles à l’accessibilité des espaces pour Concordia?
5. En matière d’accessibilité, certaines lois provinciales ou fédérales (en vigueur ou bientôt adoptées) méritent-elles une attention particulière?
6. Quelles sont les meilleures pratiques en ce domaine?
Domaine no 6 : Occasions pour les étudiants de se rencontrer et de socialiser sur le campus
1. Quelles sont les occasions actuelles pour les étudiants de développer un sentiment d’appartenance à Concordia?
2. Selon une étude sur les opioïdes, « pour lutter contre la consommation d’opioïdes, nous devons apprendre à prôner l’amour ». Ce constat s’applique également à presque tous les problèmes de santé, y compris les idées suicidaires.
a. Concrètement, que peut faire Concordia pour « prôner l’amour »?
b. Comment peut-on promouvoir ces initiatives sur le campus?
3. Quelles sont les meilleures pratiques en ce domaine?
Domain no 1
Globalement, les participants aux séances du domaine no 1 croient qu’il faut remplacer la loi du plus fort par une culture et une philosophie axées sur la santé et le bien-être dans les salles de cours et sur l’ensemble du campus. La création d’une telle atmosphère passe par la formation des professeurs et des étudiants.
Domain no 2
Les participants aux séances du domaine no 2 invitent Concordia à produire un énoncé de valeurs portant sur la santé et le bien-être, mais croient que des règles concrètes sont également nécessaires pour bâtir la culture voulue. Les politiques sur les congés involontaires des étudiants et sur la prévention des agressions sexuelles peuvent servir d’exemples.
Domain no 3
Les trois séances du domaine no 3 ont mis en lumière un manque de personnel et de ressources pour répondre à tous les besoins des étudiants. Des solutions possibles ont été proposées, comme l’adoption, à l’échelle de l’université, d’une approche holistique en matière de santé étudiante, la mise en œuvre de mesures préventives et la création de partenariats avec des services hors campus. Les membres de la communauté de Concordia voient d’un bon œil l’établissement de partenariats avec des fournisseurs de services complémentaires (p. ex., soutien en santé mentale par les pairs, thérapie par les arts, etc.). D’autres initiatives (Jack.org, Chime-In, thérapie par les arts, Nightline) se sont révélées utiles.
Domain no 4
Les trois séances du domaine no 4 ont porté sur la façon d’ancrer dans les politiques et les pratiques le changement d’attitude de Concordia en matière de santé et de bien-être. Un des meilleurs moyens de donner vie à ces idéaux est de promouvoir de saines habitudes au sein des programmes d’études et de la communauté universitaire. D’autres options consistent à offrir des repas santé abordables et à élargir les heures d’ouverture des installations sportives. Les participants suggèrent également de ne plus se contenter d’évaluer les travaux et examens, mais d’inclure aussi d’autres facteurs, comme la prise en main de sa santé personnelle et la participation à des activités parascolaires.
Domain no 5
Un certain nombre de services hors campus ont été mentionnés pendant ces séances, mais le temps d’attente pour accéder à certains d’entre eux dépasse celui des services offerts à Concordia. Les participants ont souligné l’importance d’aménager des espaces communautaires accessibles où les étudiants peuvent se rencontrer. Ils ont également souhaité la création d’une liste de services facilement consultable qui présenterait divers renseignements aux étudiants, comme les ressources offertes à ceux qui n’ont pas de carte d’assurance maladie. De nombreux services externes ont été mentionnés : CLSC, Tel-Aide, Alcochoix, Pavillon Foster, services généraux, groupes de médecine familiale, Suicide Action Montréal, Project Access, Centre de crise Tracom, Centre de référence du Grand Montréal et services jeunesse.
Domain no 6
Les séances du domaine no 6 ont généré beaucoup d’idées, dont bon nombre s’appliquent également aux autres domaines. Les participants ont souligné l’importance de créer des espaces (physiques et numériques) où les étudiants peuvent échanger, et de reconnaître l’engagement personnel en plus des résultats scolaires. Ils ont aussi évoqué ce qui suit :
- Besoin d’un site Web de référence sur le bien-être afin de permettre aux étudiants de connaître la liste complète des activités offertes à l’Université et de faire un suivi de la participation. En plus de la liste des activités, il pourrait inclure un volet médias sociaux pour faciliter les échanges entre les étudiants.
- Importance des liens personnels et du sentiment de communauté (faciliter les échanges entre étudiants ainsi que les contacts avec le corps professoral et divers groupes et services; promouvoir le bénévolat et les activités parascolaires). Organisation d’activités de cuisine communautaire, de préparation de repas de qualité et de groupes faisant la promotion de saines activités. Élargissement des critères d’évaluation de façon à inclure la participation à ce genre d’activités.
- Formation du personnel, des professeurs et des assistants d’enseignement visant à promouvoir la création de liens en classe.
- Création d’espaces physiques sur campus où les gens peuvent se rassembler.
En 2013, 32 établissements postsecondaires de partout au Canada ont réalisé un sondage sur la santé dans les collèges et les universités (National College Health Assessment – NCHA). Voici un résumé des résultats :
Maladies ou troubles diagnostiqués :
Pourcentage d’étudiants ayant reçu un diagnostic ou ayant été traités par un professionnel de la santé au cours des 12 derniers mois :
Situation |
% à Concordia |
% au Canada |
---|---|---|
Attention Deficit and Hyperactivity Disorder |
5.7 |
4.6 |
Chronic Illness |
5.4 |
5.0 |
Learning Disability |
4.5 |
3.9 |
Psychiatric Conditions |
3.2 |
5.4 |
Usage de drogue et d’alcool
Pourcentage d’étudiants déclarant les comportements suivants :
Situation |
% à Concordia |
% au Canada |
---|---|---|
Consommation de cannabis dans les 30 derniers jours |
20.2 |
16 |
Usage de drogue dans les 12 derniers mois |
12.2 |
10.9 |
Consommation d’au moins cinq verres d’alcool une fois ou deux dans les deux dernières semaines |
24.9 |
26.8 |
Baisse de rendement
Pourcentage d’étudiants dont le rendement a subi les contrecoups des situations suivantes au cours des 12 derniers mois :
Situation |
% à Concordia |
---|---|
Stress |
33 |
Anxiété |
27,4 |
Trouble du sommeil |
21,4 |
Utilisation d’Internet ou de jeux vidéo |
17,1 |
Remarque : Il existe une corrélation entre ces facteurs. Par exemple, le stress peut influer directement sur les trois autres autres.
Pourcentage d’étudiants ayant ressenti ce qui suit au cours des 30 derniers jours :
Situation |
% à Concordia |
---|---|
Impression d’être submergé par la charge de travail |
14,8 |
Grande solitude |
13,2 |
Sentiment de désespoir |
8,5 |
Humeur dépressive empêchant de fonctionner |
7,8 |
Idées suicidaires |
1,9 |
Pourcentage d’étudiants ayant été fortement préoccupés ou perturbés par les enjeux suivants au cours des 12 derniers mois :
Situation |
% à Concordia |
---|---|
Études |
52,6 |
Finances |
36,9 |
Relations intimes |
33 |
Situation professionnelle |
31,9 |
Pourcentage d’étudiants dont le stress des 12 derniers mois a atteint les niveaux suivants :
Situation |
% à Concordia |
---|---|
Moyen |
37,1 |
Supérieur à la moyenne |
41,6 |
Café no 1 – 8 novembre – sur les domaines nos 1 et 5
Question 1: Quelles caractéristiques d’un environnement d’apprentissage sain soutiennent le bien-être des étudiants et la rigueur intellectuelle?
- L’environnement doit encourager la communauté plutôt que l’isolement.
- Il doit favoriser les relations avec les pairs, les professeurs et les mentors.
- Il doit habiliter les étudiants et leur fournir les outils dont ils ont besoin pour favoriser leur santé et leur bien-être.
- Il doit intégrer des pratiques d’autogestion de la santé dans le curriculum (lutte contre les relations sexuelles non protégées, la consommation de drogues [crise des opioïdes], la dépression et l’anxiété).
- Il doit réduire le stress et promouvoir la santé.
- Il doit rendre accessibles des aliments sains.
- Il doit offrir une pause universelle une fois par jour afin de permettre aux étudiants de se rencontrer et de multiplier les occasions de collaboration.
- Il doit comprendre une semaine de lecture en automne.
- Il doit offrir un service de navettes les fins de semaine.
- Les examens doivent être mieux échelonnés.
Question 2: Comment l’aménagement des lieux physiques de Concordia peut-il favoriser l’accessibilité et le bien-être?
- Les lieux doivent être conçus pour être accueillants. Ils doivent favoriser la diversité et l’accessibilité.
- Ils doivent soutenir la santé et le bien-être du personnel et des membres du corps professoral.
- Il faut créer et promouvoir un moyen facile pour les étudiants et les professeurs d’accéder à l’information sur la santé et le bien-être.
Café no 2 – 14 novembre – sur les domaines nos 2 et 3
Question 1: Quels sont les services et mesures de soutien essentiels à la santé et au bien-être des étudiants?
- Il faut créer un moyen facile pour les étudiants et les professeurs de s’informer sur les services offerts.
- Il faut établir une culture de santé et de bien-être.
- Il faut offrir de l’aide aux étudiants et aux membres du corps professoral.
- Il faut montrer aux professeurs comment aborder les étudiants qui ont besoin de soutien et promouvoir le bien-être dans la salle de classe.
- Il faut offrir des services de soutien par les pairs au personnel et aux étudiants.
- Il faut nommer des ambassadeurs étudiants.
Question 2: Quelles sont les politiques et procédures qui favorisent le mieux la santé et le bien-être des étudiants?
Policies and procedures that reduce stress and allow for flexibility.
- Les politiques et procédures qui réduisent le stress et offrent de la souplesse.
- Il est possible de réduire le stress en période d’examen en modifiant les horaires ou les attentes.
- Des pauses universelles doivent être accordées aux étudiants afin qu’ils puissent explorer les services offerts sur le campus et utiliser ceux qui pourraient répondre à leurs besoins.
- Les politiques et procédures doivent être moins restrictives et plus accessibles.
- Les membres du corps professoral et les étudiants pourraient être formés à prendre soin d’eux-mêmes et à promouvoir le bien-être.
- Le bien-être devrait faire partie de l’orientation stratégique de Concordia.
Question 3: Si vous aviez une baguette magique et qu’elle vous permettait de prendre une mesure pour améliorer la santé et le bien-être des étudiants, quelle serait cette mesure?
- Je normaliserais le bien-être et le fait de demander de l’aide. Je créerais une communauté bienveillante et une culture du bien-être.
- Je créerais un milieu axé sur la sécurité et le bien-être où tous se sentent comme à la maison.
- Je ferais la promotion du bien-être au-delà du milieu universitaire.
- J’encouragerais l’empathie et la compassion. J’encouragerais les gens à prendre soin d’eux-mêmes et des autres.
- Je créerais des lieux physiques où les étudiants peuvent se rencontrer, échanger et collaborer.
Café no 3 – 23 novembre – sur les domaines nos 4 et 6
Question 1: Quelles sont les occasions de développement personnel qui peuvent encourager l’épanouissement et le bien-être général des étudiants?
- Encourager la collectivité et lutter contre l’isolement.
- Le mentorat et les réseaux de pairs.
- Les médias sociaux.
- Les occasions d’apprentissage par l’expérience.
- La participation à la société engendre l’optimisme et l’espoir.
- Encourager les expériences à l’étranger (beaucoup moins courantes au Canada que dans les pays semblables).
- Organiser un forum dirigé par les étudiants pour discuter des enjeux.
- Encourager la joie, la participation et l’empathie. Être un établissement bienveillant.
- Mieux faire connaître les services offerts.
- Accroître le nombre de services de première ligne et de prévention.
- Essayer d’autres types d’évaluation pour diminuer la compétition entre les étudiants.
- Améliorer l’accessibilité de l’information.
- Créer un guichet unique où toute l’information est accessible et en faire la promotion.
- Utiliser les médias sociaux.
- Informer le personnel et les professeurs de ce qui est offert.
Question 2: Quels types de liens avec le campus peuvent favoriser le sentiment d’appartenance et le bien-être?
- La communication et l’échange.
- Une personne-ressource (conseiller, professeur ou membre du personnel) pour chaque étudiant.
- Le mentorat, les ambassadeurs étudiants, les relations avec les pairs.
- Encourager les activités parascolaires et communautaires.
- Aller vers les étudiants qui ne participent pas aux événements.
- La responsabilité institutionnelle.
- Créer des espaces sur le campus où les étudiants se sentent à l’aise de passer du temps.
- Intégrer les événements, les programmes et les ressources dans la structure de l’établissement.
- Améliorer l’accès aux ressources non universitaires.
- Favoriser les échanges entre les facultés.
- Encourager et former les professeurs à faire du bien-être des étudiants une priorité.
- Favoriser l’échange et le bien-être comme culture à Concordia.
- Créer des lieux interdisciplinaires pour organiser une variété d’activités d’échange ouvertes à tous.
- Créer des ruches d’art et des bacs à sable technologiques, soit des lieux où les gens peuvent échanger tout en travaillant à leur propre bien-être.
- Joindre les personnes qui se sentent isolées « au milieu de la foule ».
- Créer des lieux physiques accessibles pour encourager la création de liens et la communication.
Question 3: Si vous aviez une baguette magique et qu’elle vous permettait de prendre une mesure pour améliorer la santé et le bien-être des étudiants, quelle serait cette mesure?
- Je réduirais l’esprit de compétition entre les étudiants.
- Je ferais de l’éducation une activité de collaboration avec les étudiants et non un produit à livrer aux étudiants. Je me concentrerais sur les intérêts des étudiants.
- Je favoriserais les expériences pratiques et les activités parascolaires.
- J’accorderais une pause universelle chaque jour.
- J’encouragerais les professeurs à tenir compte du bien-être des étudiants tout en trouvant une façon de réduire le stress des professeurs et de prendre soin d’eux.
- Je repenserais les pratiques d’évaluation et j’encouragerais l’apprentissage sans l’attribution de notes. J’éliminerais la courbe des notes et les moyennes de groupe.
- J’améliorerais les bourses de subsistance et le financement. J’éliminerais les frais de scolarité.
- Changer la culture afin que tout le milieu universitaire s’engage à améliorer la santé et le bien-être des étudiants.
- Créer une semaine de lecture à l’automne (une pause prolongée à l’Action de grâce).
- Augmenter la participation des étudiants à la planification des services de santé et de bien-être. L’idée d’un conseil étudiant sur les programmes a été suggérée.
- Augmenter la quantité de loisirs offerts sur le campus.
- Déstigmatiser les troubles de santé mentale pour que les gens aient accès au soutien et aux services dont ils ont besoin.
- Mettre en place du personnel et des mécanismes de soutien pour augmenter la quantité de programmes et de services favorisant la santé et le bien-être.
- Créer un programme de formation sur la santé et les habitudes de vie (des cours donnant accès à des crédits universitaires, ou des webinaires et des cours en ligne qui pourraient être intégrés au matériel de cours). L’importance de la littératie en santé pour la communauté a été soulignée.
- Améliorer les processus pour éviter la « tournée de Concordia » pour les étudiants, et les réduire au maximum.
- Travailler à éliminer le harcèlement.
- Créer des lieux de paix.
- Mieux renseigner sur les services offerts pour soutenir la santé et le bien-être des étudiants. (« Nous avons besoin d’un système pour mieux communiquer ensemble sur le campus. »)
- Les lieux sans réseau Internet, sans médias sociaux et sans téléphone ont tous été mentionnés. Le sénat a discuté de la corrélation entre l’anxiété et les réseaux numériques.
- Répondre au besoin d’apprentissage tout au long de la vie et fournir des moyens de renforcer les compétences pour la transition vers le marché du travail.
- Examiner nos politiques pour soutenir la santé et le bien-être (par exemple, sur les notes justificatives du médecin si l’étudiant est malade et qu’il doit passer des examens médicaux la semaine avant les examens finaux).
Promouvoir des salles de classe et une culture d’évaluation saines
Selon ses résultats, Keeling & Associates suggère de la formation pour les professeurs, afin de mieux les outiller pour comprendre les besoins des étudiants et démontrer leur empathie en classe. Il propose aussi d’intégrer plus de conseillers (comme des travailleurs sociaux ou des pairs-conseillers) partout dans l’établissement afin d’offrir plus de ressources aux étudiants.
Consommation d’alcool ou de drogue
Keeling & Associates indiquent que de bannir la consommation d’alcool ou de drogue est une mesure qui ne s’avère généralement pas efficace, tout comme les méthodes purement éducatives visant à réduire la consommation. La stratégie la plus efficace consiste à utiliser de multiples méthodes et à trouver des moyens d’encourager les étudiants qui ont des problèmes de consommation à s’en sortir. La participation des pairs à la prévention et au traitement de la dépendance a fonctionné dans d’autres universités.
Intervenir auprès des étudiants en crise
Les résultats de Keeling & Associates suggèrent d’offrir de la formation aux employés qui sont les plus en contact avec les étudiants (professeurs, personnel, administrateurs, pairs et, tout particulièrement, dispensateurs de services médicaux et de santé mentale) afin de prévenir les crises. Les services d’écoute téléphonique, les programmes de soutien par les pairs, l’éducation pour la prévention du suicide, la formation accrue du personnel soignant, le renforcement des relations sociales des étudiants et la formation de sentinelle pour la prévention du suicide sont toutes des pratiques utiles pour prévenir les crises.
La santé et le bien-être au sein des populations en résidence sur le campus
Sans créer des services médicaux à temps plein pour les étudiants en résidence, Keeling & Associates suggère d’outiller les pairs, les professeurs et les étudiants pour qu’ils soient capables de détecter les difficultés. Il propose également de leur donner une meilleure formation sur l’empathie. Toutefois, les programmes de conseillers en résidence qui placent des conseillers professionnels dans les halls des résidences semblent être la pratique la plus efficace.
Santé et bien-être des étudiants autochtones
Keeling & Associates suggère d’élaborer des stratégies afin de mieux servir les étudiants autochtones en prenant en considération l’identité communautaire et culturelle des peuples autochtones. Les clubs étudiants, les programmes de consultation des Anciens, les conseillers autochtones, les programmes de transition et la création de ressources pour les étudiants autochtones sur le campus sont toutes des pratiques recommandées.
Santé et bien-être des étudiants étrangers
Keeling & Associates recommande de former le personnel de première ligne afin qu’il puisse soutenir les étudiants atteints de troubles de santé mentale, de créer des groupes de consultation pour les étudiants étrangers, d’embaucher des conseillers de diverses origines et de mettre sur pied des programmes d’éducation par les pairs, y compris des « systèmes de jumelage ». Ces ressources doivent être facilement accessibles et déstigmatisées.
Soutenir les points de services autres que de santé
Keeling & Associates recommande de donner de la formation de sentinelle aux personnes qui travaillent dans les points de services autres que de santé afin qu’elles soient en mesure de détecter les étudiants souffrant de problèmes de santé mentale et d’intervenir auprès d’eux. Les systèmes d’« alerte précoce », les protocoles établis pour l’intervention du personnel non soignant et la formation de toute la population universitaire sont toutes des pratiques utiles.
Encourager les pratiques de prévention en santé
Pour des pratiques de prévention en santé efficaces, Keeling & Associates propose une orientation en matière de santé publique, de l’éducation sur la santé liée aux habitudes de vie, à l’alimentation et aux médias sociaux à l’échelle de l’Université, l’accessibilité de l’information pour la prévention des problèmes de santé, les organisations étudiantes axées sur la santé sur le campus, un bureau de promotion de la santé, des trousses d’outils aidant les étudiants à gérer leurs habitudes de vie, des pratiques et des lieux de pleine conscience et un sexologue sur place. Ses résultats suggèrent que ces pratiques sont plus utiles lorsqu’elles sont adaptées aux divers besoins des étudiants.
Quel est le ratio moyen entre le nombre de dispensateurs de services de santé et de bien-être et le nombre d’étudiants au Canada et aux États-Unis?
Keeling & Associates indique qu’il n’y a aucune pratique exemplaire largement reconnue ni aucun ratio recommandé entre le nombre de professionnels des services aux handicapés ou des services d’accessibilité et le nombre d’étudiants. En ce qui concerne la consultation psychologique, l’International Association of Counselling Services recommande un professionnel en santé mentale équivalent temps plein (ETP) pour 1 000 à 1 500 étudiants ETP. En matière de services de santé, la plupart des universités canadiennes et américaines observent un ratio d’un médecin pour 2 500 étudiants.
Santé physique
- Les étudiants jugent leur santé de moins en moins bonne. Les résultats américains sont légèrement meilleurs que les résultats canadiens.
- Qualité du sommeil : De plus en plus d’étudiants ne dorment pas assez. Le soutien familial et le climat scolaire améliorent les habitudes de sommeil.
- Alimentation saine, poids et nutrition : Les étudiants sont nombreux à ne pas se nourrir adéquatement. Concordia doit être préparée à répondre aux problèmes d’insécurité des étudiants par rapport à leur image corporelle. Le taux d’obésité chez les jeunes demeure inchangé. Les ménages à faible revenu peinent à se procurer des aliments sains. Toutefois, Concordia se classe mieux que les autres écoles canadiennes et américaines en ce qui concerne la consommation de fruits et légumes.
- Activité physique et loisirs : La sédentarité a augmenté et le faible degré d’activité physique affecte le sommeil, l’alimentation, les relations sociales, la santé mentale et le bien-être.
- Blessures : Bon nombre de blessures sont causées par l’activité physique.
- Santé sexuelle : Le taux d’infections transmissibles sexuellement a augmenté au Canada. Une immense majorité de jeunes Canadiens utilisent la contraception. Les étudiants de Concordia présentent le taux le plus élevé de menaces verbales, mais les taux les plus bas d’attouchements sexuels et de pénétrations sans consentement.
Santé et bien-être mentaux
- Santé mentale : Le nombre d’étudiants admis dans les établissements postsecondaires avec un diagnostic de trouble mental a augmenté. Ces troubles sont diagnostiqués plus tôt et plus fréquemment. Selon une étude ontarienne, les taux d’anxiété, de dépression et de pensées suicidaires ont récemment augmenté. Concordia doit s’attendre à ce que ce problème reste et doit fournir des soins de santé mentale. En 2013 et 2016, les étudiants de Concordia ont été plus nombreux à déclarer que leurs finances, leur carrière et leurs relations intimes étaient traumatiques ou difficiles à gérer que les autres étudiants canadiens ou américains.
- Suicide et automutilation : Le nombre d’hospitalisations pour automutilation volontaire a augmenté de 102 % depuis 2010. C’est l’une des principales causes de décès pour les enfants d’âge scolaire et les adolescents (10 à 19 ans) au Canada. Ces jeunes entreront bientôt à l’université.
- Consommation d’alcool ou de drogue : En 2013, plus d’étudiants de Concordia ont déclaré avoir consommé de l’alcool dans les 10 à 29 derniers jours que les moyennes canadiennes et américaines. Les étudiants de Concordia sont moins enclins à conduire en état d’ivresse. Le sexe non consensuel en état d’ivresse est un problème que les étudiants de Concordia déclarent plus souvent que les autres (2,1 %).
- Santé spirituelle : L’importance de la santé spirituelle pour les étudiants décroît avec l’âge. Les étudiants définissent les connexions à eux-mêmes et aux autres comme les plus importantes.
Santé sociale
- Climat scolaire ou universitaire : Vérifier si les étudiants se sentent les bienvenus est un moyen important de mesurer la santé émotionnelle et le bien-être social. Les étudiants se sentent de moins en moins acceptés plus ils vieillissent. Au Canada, l’intimidation préoccupe de plus en plus chez les jeunes d’âge scolaire, particulièrement la cyberintimidation des filles. Le harcèlement sexuel augmente avec l’âge. Les filles se disent plus souvent victimes que les garçons.
- • Activité sur Internet : La dépendance aux appareils mobiles et ordinateurs est un problème de santé publique qui préoccupe de plus en plus au Canada. Des données probantes associent le temps passé devant les écrans à l’indice de masse corporelle.
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Action |
Qui est responsable |
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3.1a |
Créer un curriculum sur la gestion des habitudes de vie et les comportements sains ne menant pas à l’obtention de crédits. |
Directrice du Service de mieux-être et de soutien de l’Université + directrice du Centre de réussite universitaire + Formation continue + Centre PERFORM |
3.1b |
Créer plus de cours sur la santé (menant à l’obtention de crédits) ouverts à tous les étudiants (certificats, blocs de cours). |
Centre d’appui à l’enseignement et à l’apprentissage + unités d’enseignement |
3.1c |
Créer des possibilités de soutenir les projets étudiants de recherche et d’innovation liés à la santé et au bien-être. |
Conseil de la vie étudiante de Concordia + Services aux étudiants + District 3 + initiative SHIFT |
3.1d |
Former et aider les professeurs à créer des environnements d’apprentissage sains. |
Centre d’appui à l’enseignement et à l’apprentissage + Service de mieux-être et de soutien de l’Université |
3.2a |
Élaborer un plan complet pour les services de santé mentale. |
Directrice du Service de mieux-être et de soutien de l’Université + directeur du Service de consultation et de psychologie |
3.2b |
Soutenir et entretenir des partenariats entre les unités (professionnels de la santé, professionnels paramédicaux, services sociaux, recherche). |
Directrice du Service de mieux-être et de soutien de l’Université |
3.2c |
Créer plus d’options de loisirs sur les deux campus. |
Directeur du Service des loisirs et des sports |
3.2d |
Intégrer des équipes de santé et de bien-être dans le corps professoral. |
Directrice du Service de mieux-être et de soutien de l’Université + vice-doyens |
3.2e |
Créer et développer des programmes et services de prévention en santé. |
Directrice du Service de mieux-être et de soutien de l’Université + Centre PERFORM |
3.2f |
Former un groupe de travail pour examiner les répercussions des médias sociaux et de l’utilisation d’Internet sur les étudiants, l’éducation et les saines habitudes de vie. |
Directrice de la Bibliothèque |
3.3a |
Regrouper toute l’information qui concerne la santé et le bien-être sur un site Web. |
Service de communication de l’Université |
3.3b |
Élaborer des campagnes de sensibilisation pour la promotion et l’adoption d’habitudes de vie saines et actives. |
Directrice du Service de mieux-être et de soutien de l’Université + Service de communication de l’Université |
3.4a |
Créer des lieux silencieux et tranquilles, des lieux pour femmes seulement et des lieux créatifs polyvalents. |
Vice-rectrice exécutive déléguée aux affaires académiques + vice-rectrice exécutive adjointe à l’innovation en enseignement et en apprentissage + registraire |
3.4b |
Reconnaître les caractéristiques de la population étudiante de Concordia, qui compte de nombreux étudiants à temps partiel. Nous recommandons de former un comité pour examiner les programmes et les services afin qu’ils reflètent les besoins de nos étudiants. |
Directeur de la vie étudiante |
3.4c |
Créer des lieux récréatifs favorisant les échanges informels, la santé et le bien-être. |
Directeur des Service des loisirs et des sports |
3.5a |
Examiner les politiques et processus qui soutiennent la santé et le bien-être des étudiants. |
Conseillère principale à la vie étudiante auprès du vice-recteur exécutif aux affaires académiques |
3.5b |
Promouvoir la connaissance des politiques existantes du sénat. |
Vice-rectrice exécutive |
3.5c |
Créer une semaine de lecture à l’automne. |
Conseillère principale à la vie étudiante auprès du vice-recteur exécutif aux affaires académiques + registraire |
3.6a |
Former un groupe de travail du Conseil de la vie étudiante de Concordia pour conseiller les Services étudiants sur les programmes de santé et de bien-être. |
Membres nommés par le Conseil de la vie étudiante de Concordia |
3.6b |
Créer un groupe consultatif d’étudiants sur les loisirs. |
Directeur des Service des loisirs et des sports |
3.6c |
Participer aux enquêtes sur la santé et aux activités de collecte de données à l’échelle pancanadienne. |
Planification et analyse institutionnelles |
3.7a |
Rédiger un énoncé d’engagement envers la santé et le bien-être. |
Groupe de direction du rectorat + Service de communication de l’Université |
3.7b |
Élaborer une campagne pour déstigmatiser les troubles de santé mentale. |
Service de communication de l’Université + Service de mieux-être et de soutien de l’Université |
3.7c |
Créer des programmes de soutien pour les parents des étudiants. |
Directeur de la vie étudiante |
3.7d |
Examiner la santé et le bien-être du personnel et des membres du corps professoral. |
Vice-rectrice adjointe aux ressources humaines |
Documents de Concordia
Documents externes
- Beaulieu, Teresa. “Exploring Indigenous and Western Therapeutic Integration: Perspectives and Experiences of Indigenous Elders.” Thesis.
- “Building Social Connections” – Clemson University
- “Canadian Health Promoting Universities and Colleges Network.” Okanagan Charter.
- “Enhancing Student Engagement and Social Connections at California State University, Fullerton”
- “Enhancing Student Wellbeing” – resources for university educators.
- “Guidelines on Student Mental Health Policies and Procedures for Higher Education.” Centre for Innovation in Campus Mental Health.
- “How to make campus environments more inviting to students” – University Affairs
- “Mental Wellbeing in the Classroom” from Ryerson University’s Learning and Teaching Office
- “Principles for Enhancing Well-being through Physical Spaces at SFU.” Simon Fraser University.
- “Project identifies teaching practices that promote student wellbeing.” University of British Columbia
- Ramsdell, Dustin. “Using Podcasts to Increase College Student Engagement.”
- “Relationships and Social Connections” – NYU
- Schreiner, Laurie A., Eileen Hulme, Roderick Hetzel, and Shane J. Lopex. Positive Psychology on Campus. The Oxford Handbook of Positive Psychology (2 ed.), July 2009.
- “Teaching Practices that Promote Student Wellbeing” from UBC Wellbeing
- “The Engelhard Project: Voice from a Decade of Connecting Life and Learning.” GeorgeTown.
- The Importance of Social Connection in College” – NorthBridge College Success Program.
- “ThriveRU” – Ryserson University
- “What is a Healthy Campus Community?” Simon Fraser University Student Services.