Sarah Rahimi
Comment la dyslexie et le genre influencent-ils le potentiel de leadership?
Sarah Rahimi est candidate au doctorat en administration des affaires et s’intéresse plus particulièrement aux enjeux d’équité, de diversité et d’inclusion, ainsi qu’aux questions de genre, de leadership et de dyslexie. Elle est titulaire d’un baccalauréat ès arts, Honours en psychologie avec distinction, et d’une mineure en relations humaines. Elle a obtenu une maîtrise ès science en management, dont le mémoire portait sur l’écart de rémunération entre les sexes dans le cas des PDG. Bénévole dévouée, elle a contribué à la révision du programme d’études de la maîtrise en management ainsi qu’à l’élaboration du certificat de leadership GradProSkills. Elle a été directrice de l’Association des étudiants de 2e et 3e cycles et représentante des étudiants des cycles supérieurs au sein du conseil de la vie étudiante de Concordia.
Les recherches de Sarah Rahimi portent sur l’incidence de la dyslexie sur le leadership, et visent à déterminer si les femmes dyslexiques sont plus désavantagées que les hommes. On estime que de 15 à 20 % de la population présente des symptômes de dyslexie, mais peu de recherches ont été effectuées sur les adultes dyslexiques. Il est essentiel de chercher à comprendre l’incidence de ce trouble de l’apprentissage sur le potentiel de leadership parce que l’apprentissage est un aspect fondamental du leadership. Les travaux de Sarah Rahimi sont financés par le Fonds de recherche du Québec – Société et culture.