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Diplômé·es

Traduction

Oana Avasilichioaei

Oana Avasilichioaei

2016, Graduate Diploma in Translation
Writer and translator (freelance)

How are you applying your degree in Translation from Concordia?

I work as a freelance literary and commercial translator. As a literary translator, my focus is mainly on Quebecois writers, though I have also translated from Romanian (the poets Nichita Stanescu and Paul Celan). I’ve translated seven books to date, which include novels, non-fiction and collections of poetry, as well as some translations for the stage and the screen, including The Fury of My Thoughts (a play adapted from Nelly Arcan and directed by Marie Brassard) in 2015. My most recent novel translation, Readopolis by Bertrand Laverdure (BookThug, 2017), is a finalist for the 2017 Governor General’s Literary Award for Translation. As a commercial translator, I work in various areas, such as visual arts, cinema, education, tourism, human resources, and business.

What do you value most from your Translation experience?

A highly valuable learning experience was that the program offered the possibility of doing an internship with a translation office. In 2015, while I was pursuing my degree, I had the opportunity to work for one term as a translator in the Linguistic Services department of the National Bank. I was able to experience what it is like working in a translation office and as part of a team (as opposed to freelancing) and I learned a great deal.

Is there a particular memory that stands out from your time at Concordia?

I had the opportunity to do a directed studies with Christine York, during which I began working on novel translation (a novel by Suzanne Leblanc, which I subsequently co-translated with Ingrid Pam Dick and published with BookThug as The Thought House of Philippa). Being able to work individually with Professor York on the early stages of this novel was an invaluable experience. Her reactions, questions, and feedback deepened my thinking and translation process.

What advice would you give to someone considering graduate studies in Translation?  

I would say that it is very important to know your goals as you go through the program, as then you can tailor it to your needs and make the most of the experience. For myself, for example, I was really interested in learning about and developing certain areas of translation, in which I had less or no experience. As such I focused my learning in these areas, such as legal, scientific and commercial translation, as well as using various types of translation software. 

Sophie Cardinal-Corriveau

Sophie Cardinal-Corriveau

2010, Diplôme en traduction
Traductrice littéraire

Quelle porte le diplôme en traduction de l'Université Concordia a-t-il ouverte pour vous?

Depuis l’obtention de mon Diplôme en traduction, je travaille en tant que traductrice littéraire et j’ai la chance d’offrir mes services à des maisons d’éditions québécoises bien établies comme Leméac, VLB, XYZ ou Hurtubise.

Qu'est-ce que vous valorisez le plus de vos années d'études en traduction?

Lors de mes études en traduction à Concordia, j’ai bénéficié d’une grande flexibilité qui m’a permis de suivre les cours et travaux dirigés qui convenaient le plus à mes besoins, mais qui demeuraient d’une qualité irréprochable.

Avez-vous un souvenir en particulier de vos années passées à Concordia?

Je garde de très bons souvenirs d’un cours de traductologie avec Sherry Simon, qui m’a ouvert les yeux sur une discipline qui gagne à être connue d’un plus grand nombre de gens. J’ai aussi bénéficié des lumières de Pier-Pascale Boulanger en traduction littéraire, un cours qui m’a confirmé le bien-fondé de mon orientation vers ce domaine.

Quel conseil donneriez-vous à quelqu'un qui voudrait faire des études supérieures en traduction?

Le programme de Diplôme en traduction est fait sur mesure pour nous aider à peaufiner nos compétences. Je recommande aux nouveaux étudiants de ne pas hésiter à demander aide et conseils auprès des professeurs et du personnel, qui sont véritablement disponibles et prêts à faire bouger les choses pour eux.

Chantal Frigon, trad. a., rév. a.

Chantal Frigon, trad. a., rév. a.

2012, Diplôme en traduction
Traductrice-réviseure, Groupe TMX

Quelle porte le diplôme en traduction de l'Université Concordia a-t-il ouverte pour vous?

Grâce au diplôme d’études supérieures spécialisées en traduction, j’ai pu allier mes compétences à une solide formation universitaire de deuxième cycle et ainsi réaliser une synergie fort lucrative. J’ai choisi Concordia parmi les nombreux programmes en Amérique du Nord en raison de son approche axée sur la pratique et de la possibilité de faire des stages. Comme j’avais aussi obtenu mon baccalauréat en Science politique à Concordia quelques années auparavant, je connaissais la souplesse de cette université et savais que je m’y plairais encore. À la suite du stage effectué dans l’entreprise où je travaille actuellement, on m’a offert de prolonger mon contrat et un poste permanent s’en est suivi. J’adore mon travail dans cette grande entreprise et je suis extrêmement satisfaite des résultats qui ont découlé de l’obtention de mon diplôme.

Qu'est-ce que vous valorisez le plus de vos années d'études en traduction?

Le programme du diplôme de 2e cycle en traduction m’a offert les outils et les connaissances qui me manquaient pour postuler à des emplois en traduction. Les cours de traduction assistée par ordinateur, entre autres, m’ont initiée aux outils informatiques d’aide à la traduction qui sont devenus incontournables dans la profession. En jumelant mon expérience professionnelle et ma connaissance pratique des langues aux acquis du programme, j’étais très confiante en ma capacité de pouvoir répondre aux exigences d’un poste intéressant de traductrice et réviseure. J’ai désormais acquis une maîtrise certaine des concepts liés au secteur du commerce des valeurs mobilières, tout en approfondissant celle de la traduction administrative. Je dois bien une part de la réussite de ma démarche professionnelle aux professeurs de traduction de Concordia qui m’ont enseigné!

Avez-vous un souvenir en particulier de vos années passées à Concordia?

J’ai eu le privilège de suivre des cours avec la professeure Pier-Pascale Boulanger en traduction juridique et commerciale, en traduction littéraire ainsi que dans le cadre d’un travail dirigé. Par sa rigueur et sa verve, madame Boulanger est une professeure des plus inspirantes. Les connaissances qu’elle m’a transmises me servent au quotidien. Merci encore Madame Boulanger!

Quel conseil donneriez-vous à quelqu'un qui voudrait faire des études supérieures en traduction?

Je conseille fortement aux futurs étudiants du programme de préciser leurs attentes en matière de cheminement de carrière. Le diplôme de 2e cycle diffère de la maîtrise en ce qu’il offre plutôt un parcours direct vers l’emploi en entreprise. Assurément, il faut aussi profiter des avantages du programme qui donne accès à des stages potentiels. Vous ne savez jamais où les stages vous mèneront... et vous pourriez en être agréablement surpris!

Alex Gauthier

Alex Gauthier

2017, Maîtrise (recherche) en traductologie
Traducteur et réviseur autonome

Quelle porte le diplôme en traduction de l'Université Concordia a-t-il ouverte pour vous?

Le programme de maîtrise en traductologie (profil recherche) m’a permis d’approfondir ma réflexion en ce qui a trait à la pratique de la traduction, à la fois pragmatique et littéraire. Il a fait de moi un meilleur traducteur, en plus de me donner la chance de me créer un réseau professionnel dont je profite encore aujourd’hui en tant que travailleur autonome. Les connaissances acquises au cours de ma maîtrise se sont révélées particulièrement utiles dans la traduction de quatre essais publiés par Lux éditeur.

Qu'est-ce que vous valorisez le plus de vos années d'études en traduction?

Au cours de mes études, le corps professoral et le Département m’ont offert la possibilité de participer à une foule de projets intéressants, notamment la troisième édition des Traducteurs dans l’Histoire de Judith Woodsworth et Jean Delisle, supervisée par Benoit Léger ; le sous-titrage d’un documentaire politique sous la supervision de Christine York pour Concordia Politica, la supervision d’étudiants pour la traduction d’une œuvre hypermédiatique publiée dans le magazine bleuOrange, ainsi qu’un stage rémunéré en traduction.

Avez-vous un souvenir en particulier de vos années passées à Concordia?

Je me souviendrai toujours de ma première communication à l’Odyssée de la traductologie, un colloque étudiant organisé depuis une quinzaine d’années par l’Association étudiante des cycles supérieurs en traduction de Concordia (dont j’ai fait partie). Un des présentateurs s’est désisté une semaine avant le colloque et on m’a demandé de le remplacer. Il s’agissait de la première fois que je présentais mes recherches devant un public averti composé d’étudiants aux cycles supérieurs et de professeurs provenant d’une foule d’universités différentes dans le monde. Ma communication a été extrêmement bien reçue et m’a réellement donné la confiance de croire en mon talent et de persévérer dans le domaine universitaire et professionnel.

Quel conseil donneriez-vous à quelqu'un qui voudrait faire des études supérieures en traduction?

Je dirais aux nouveaux venus dans le programme de chercher à s’impliquer au Département de toutes les manières possible, que ce soit en intégrant le comité de l’Association étudiante, en participant aux projets de recherche du corps professoral, en donnant des conférences ou en enseignant aux élèves de premier cycle. La maîtrise est l’occasion idéale de gagner en expérience et de se démarquer à titre de langagier professionnel. De plus, l’Université Concordia possède une très bonne réputation auprès des employeurs et la directrice du programme aide souvent ses diplômés talentueux à prospérer en leur diffusant les offres d’emplois qu’elle reçoit.

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