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Faits saillants

Une équipe de Concordia lance le premier satellite de conception étudiante au Québec

En juin, une fusée Falcon 9 de SpaceX a décollé de la Cape Canaliserai Space Force Station, en Floride, pour une mission de réapprovisionnement de la Station spatiale internationale. La fusée emportait à son bord le satellite orbital Imagine Nanosat du Club spatial de Concordia, le tout premier satellite québécois construit par des étudiantes et étudiants du Québec.

Ce satellite a été conçu en partenariat avec l’Agence spatiale canadienne (ASC) et le prestataire de services de navette satellitaire Nanoracks. Sa mission première consiste à recueillir des images multispectrales des particules aéroportées provenant des tempêtes de poussière sur la côte namibienne, aux fins de la recherche sur le climat.

« La construction de ce satellite est un exploit majeur, souligne le président du Club spatial de Concordia, Simon Randy. En plus de placer Concordia en première ligne de l’exploration spatiale, elle a procuré aux étudiantes et étudiants une expérience des plus précieuses, porteuse de possibilités qui le sont tout autant. »

Le Club spatial de Concordia participe également avec AstroYeast – une équipe principalement composée d’étudiants et de récents diplômés de Concordia – à un projet commun visant à développer des cadres microfluidiques pour étudier les effets de la microgravité sur les levures productrices de nutriments. Ce projet s’inscrit dans le cadre de CUBICS, initiative de l’ASC qui permet aux enseignants d’établissements postsecondaires de donner à leurs étudiants la chance de participer du début à la fin à une mission spatiale.

« Il s'agit d'un accomplissement majeur pour notre société étudiante », déclare Simon Randy, président de Space Concordia. « Il s'agit d'un accomplissement majeur pour notre société étudiante », déclare Simon Randy, président de Space Concordia.

Une équipe étudiante de Concordia remporte le défi de conception de l’Electric Aircraft Technologies Symposium

Une équipe d’étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs en génie de Concordia a récemment remporté le défi de conception de l’édition 2023 de l’Electric Aircraft Technologies Symposium, organisé par l’American Institute of Aeronautics and Astronautics en collaboration avec l’Institute of Electrical and Electronics Engineers. L’équipe de Concordia s’est penchée sur la manière de réduire les émissions de dioxyde de carbone et les émissions sonores en dotant un aéronef existant d’un système de propulsion hybride électrique.

Elle a proposé un concept novateur : installer des panneaux solaires sur certains éléments de l’aéronef pour générer de l’énergie additionnelle, s’ajoutant à celle issue des moteurs. Des aéronefs fondés sur ce concept novateur, qui mise sur les progrès prévus en matière de panneaux solaires et de batteries, devraient entrer en service d’ici 2035.

Photo de gauche à droite : Gala Licheva, Vijesh Mohan, Mohammed Mir, Andrew Jeyaraj, Hast Jahanara et Parush Bamrah. Photo de gauche à droite : Gala Licheva, Vijesh Mohan, Mohammed Mir, Andrew Jeyaraj, Hast Jahanara et Parush Bamrah.

Décoloniser et autochtoniser les programmes d’études et les pratiques pédagogiques

Lorsque Concordia a dévoilé son plan d’action sur les directions autochtones en 2019, elle s’est engagée à reconnaître les savoirs autochtones et à les intégrer à ses programmes d’études et à ses pratiques pédagogiques. L’objectif consistait à élaborer un plan panuniversitaire visant à introduire les points de vue autochtones dans les programmes d’études ainsi qu’à offrir une formation pour aider les membres du corps professoral à aborder des sujets autochtones et à animer des discussions respectueuses en classe.

Concordia a concrétisé cet engagement en lançant un plan quinquennal de décolonisation et d’autochtonisation de ses programmes d’études et de ses pratiques pédagogiques. « Ce plan nous appelle, en tant qu’éducatrices et éducateurs, à sortir de nos zones de confort et à repenser nos programmes d’études de manière respectueuse et constructive », déclare Anne Whitelaw, vice-rectrice exécutive aux affaires académiques.

Un coup de pouce aux restaurants-minute locaux de la part d’étudiantes et étudiants de l’École de gestion John-Molson

Pour Xiaodan Pan, professeure agrégée de gestion de la chaîne d’approvisionnement et des technologies d’affaires, la clé de l’apprentissage d’un logiciel réside dans son utilisation à des fins concrètes. Elle a donc demandé à ses étudiantes et étudiants d’utiliser un logiciel de simulation appelé Arena pour améliorer la rentabilité des restaurants-minute.

Les étudiants se sont penchés sur divers restaurants dont les clients peuvent consommer les mets sur place, mais aussi les commander par téléphone, au moyen d’une application, en ligne ou encore par l’entremise de service tiers comme Uber Eats ou DoorDash. Ils ont ensuite réalisé des simulations. « Les étudiants ont beaucoup apprécié ce projet de simulation, qui a contribué à leur mobilisation et à leur enthousiasme », se réjouit la Pre Pan.

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