Identité de genre et orientation sexuelle

Identité de genre

Près de 60 % des répondants appartenant à la communauté universitaire se définissent comme étant des femmes et plus de 33 % se définissent comme étant des hommes. La représentation des femmes est donc similaire à celle observée dans les populations universitaires canadienne (58 %) et québécoise (58 %).
3 % des répondants se définissent comme n’étant ni des hommes ni des femmes.
62 % des répondants qui sont membres des communautés 2ELGBTQIA+ se définissent comme étant des femmes.
Près de 46 % des répondants qui étudient aux cycles supérieurs se définissent comme étant des femmes. Il s’agit d’une proportion inférieure à celle observée au sein de la population étudiante canadienne des cycles supérieurs (55 %).

6 % des répondants au recensement se définissent comme étant des personnes trans ou des membres d’une communauté de genre divers. Cette proportion est légèrement plus élevée parmi les personnes étudiantes qui fréquentent la Faculté des arts et des sciences (7 %). Elle est beaucoup plus élevée parmi les personnes étudiantes qui fréquentent la Faculté des beaux-arts (16 %) ou qui poursuivent des études interdisciplinaires (20 %).
À l’inverse, cette proportion est moins élevée parmi les étudiantes et étudiants des cycles supérieurs (4 %), de l’École de génie et d’informatique Gina-Cody (2 %) et de l’École de gestion John-Molson (2 %).
Enfin, 18 % des personnes étudiantes qui se définissent comme Autochtones du Canada et 19 % des personnes étudiantes qui vivent avec un handicap ou une déficience déclarent être membres d’une communauté de genre divers. Il s’agit d’une proportion bien supérieure à celle constatée au sein de la population de Concordia dans l’ensemble (6 %).
Parmi les personnes étudiantes qui sont membres d’une communauté de genre divers, 3 % sont des parents ou des tuteurs légaux et 3 % sont des proches aidants.
Comparativement à la population canadienne (0,33 %) et à la population québécoise (0,19 %), la communauté de genre divers semble être bien représentée à l’Université Concordia.

Parmi les personnes étudiantes de Concordia, 23 % se définissent comme étant des membres des communautés 2ELGBTQIA+ en raison de leur orientation sexuelle. Il s’agit d’une proportion supérieure à celle constatée dans la population canadienne (4 %).
La proportion de personnes étudiantes qui s’autodéclarent comme membres des communautés 2ELGBTQIA+ en raison de l’orientation sexuelle est plus élevée parmi les répondants qui se considèrent également comme étant Autochtones du Canada (37 %), qui vivent avec un handicap ou une déficience (51 %), qui étudient à temps partiel (27 %), qui fréquentent la Faculté des beaux-arts (48 %) ou la Faculté des arts et des sciences (29 %) ou qui poursuivent des études interdisciplinaires (55 %).
En revanche, la proportion de membres des communautés 2ELGBTQIA+ est plus faible parmi les étudiants à temps plein (21 %), les étudiants des cycles supérieurs (16 %) et ceux qui fréquentent l’École de gestion John-Molson (10 %) ou l’École de génie et d’informatique Gina-Cody (10 %).
La majorité des personnes étudiantes de Concordia décrit son orientation sexuelle comme hétérosexuelle (69 %). Les étudiantes et étudiants de l’École de gestion John-Molson (82 %) et de l’École de génie et d’informatique Gina-Cody (80 %) sont plus susceptibles de se déclarer hétérosexuels.