Utilisation des services aux étudiants
- La plupart des répondants n’ont jamais fait appel aux services aux étudiants. Si on ventile davantage les résultats, on obtient le portrait suivant : 48 % des répondants n’ont jamais utilisé les services de soutien pédagogique et de perfectionnement scolaire (p. ex. Centre de réussite universitaire, Service d’intégration des étudiants en situation de handicap, Concordia International), 54 % n’ont jamais utilisé les services liés à la vie étudiante (p. ex. associations et groupes étudiants, ESPACE 4, sport intra-universitaire, Le Gym), 68 % n’ont pas utilisé de services spécialisés de soutien aux étudiants (p. ex. Bureau des perspectives noires, Centre étudiant Otsenhákta, Centre des étudiants parents, Bureau des étudiants internationaux) et 72 % n’ont pas utilisé de services liés à la conduite, aux politiques et aux procédures (p. ex. Bureau de l’ombudsman, Bureau des droits et des obligations, Centre d’aide aux survivantes et survivants d’agression sexuelle).
- Les étudiantes et étudiants qui vivent avec un handicap ou une déficience (60 %), qui se déclarent comme Autochtones du Canada (37 %), qui ont le statut de résident temporaire (33 %), qui font partie d’une communauté de genre divers (33 %) ou des communautés 2ELGBTQIA+ (31 %) utilisent les services de soutien pédagogique et de perfectionnement scolaire dans une plus grande mesure, et ce au moins une fois par trimestre.
- Les hommes (22 %), les étudiants à temps plein (24 %) et les personnes de moins de 25 ans (22 %) utilisent davantage les services liés à la vie étudiante, et ce une fois ou plus par trimestre.
- Enfin, 5 % des étudiantes et étudiants de Concordia utilisent les services liés à la conduite, aux politiques et aux procédures une fois ou plus par trimestre. On observe une proportion plus élevée d’utilisateurs parmi les personnes étudiantes qui se définissent comme faisant partie de groupes sous-représentés comme la communauté de genre divers (10 %), les communautés 2ELGBTQIA+ (6 %), les peuples autochtones du Canada (16 %) ou les personnes vivant avec un handicap ou une déficience (8 %).
- Le pourcentage d’étudiantes et étudiants qui ne connaissent pas l’existence de ces services est inférieur à 10 %.