Skip to main content

CENTRE
MARGUERITE D’YOUVILLE

ASGM L103_H01 Centre Marguerite d'Youville, Gisant de Mère d'Youville, vers 1960.

Lorsque Marguerite d’Youville a été béatifiée par le pape Jean XXIII durant une cérémonie à Rome en 1959, une étape du processus menant à sa sainteté a été franchie. C’était l’occasion pour les Sœurs Grises d’honorer leur fondatrice en consacrant une section de la maison mère à son héritage. Le couloir du rez-de-chaussée conduisant à cet espace, situé entre la chapelle et l’aile Saint-Mathieu, a été orné de vitraux afin d’embellir le lieu et d’informer les visiteurs au sujet de la vie de Marguerite d’Youville. Suite à la béatification, une représentation de Marguerite d'Youville, sous forme de gisant, a été réalisée et exposée à la chapelle du Centre Marguerite d'Youville. Les religieuses et les visiteurs pouvaient alors se recueillir devant le gisant de la sainte.

En 2006, le gisant de Marguerite d'Youville est transféré au mausolée Sainte-Marguerite-d'Youville du cimetière Notre-Dame-des-Neiges à Montréal. Quant aux vitraux, on les a déménagés aux Appartements du Square Angus, à Montréal, où nombre de sœurs à la retraite ont été relogées. Aujourd’hui, le local du Centre Marguerite d’Youville est intégré au Centre de la petite enfance Concordia et consacré à l’amélioration des habiletés motrices des tout-petits.

Écoutez les religieuses chantant dans la crypte (2015)

Marguerite d’Youville a été canonisée par le pape Jean-Paul II le 9 décembre 1990, aboutissement d’un processus qui avait officiellement débuté par sa reconnaissance comme « vénérable » en 1890. Aujourd'hui, la Maison de Mère d'Youville dans le Vieux-Montréal conserve la mémoire et le patrimoine de Marguerite d'Youville et des Sœurs grises de Montréal. Une nouvelle exposition est en cours de préparation.

Le Sanctuaire Sainte-Marguerite d'Youville, situé à Varennes, présente une exposition sur la vie, l'œuvre et la spiritualité de Marguerite d'Youville. Le tombeau de la sainte se trouve à proximité, à la Basilique Sainte-Anne.

Retour en haut de page

© Université Concordia